Relations - remarques depreciatives


Les remarques dépréciatives au sujet des Amérindiens «sauvages» et «civilisés» font partie de la tradition des relations de voyage au Brésil.

Dans son ouvrage de 1745, Charles Marie de La Condamine affirme que «tous ou la plupart des Indiens de L’Amérique méridionale sont menteurs, crédules, entêtés du merveilleux».

Même si, dans le texte, Biard décrit la plupart des Amérindiens «civilisés» comme des voleurs, des alcooliques et des menteurs, dans les portraits humoristiques, ils sont représentés d’une nouvelle façon, qui dépasse la simple image négative.

Ces portraits de la deuxième moitié du livre, période où Biard se trouve en excursion en Amazonie, ont des formes et des dimensions variées, et montrent des modèles en pied.

Au contraire des portraits ethnographiques, ces portraits humoristiques ont probablement été réalisés de mémoire. À la lecture du texte, il est possible de supposer que Biard a eu un contact étroit et prolongé avec la plupart des personnages représentés, dont plusieurs ont été ses domestiques.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

PLAGIAT